Dans un film policier se déroulant dans les années soixante, il aurait été encadré par des policiers en civil avec un Stetson sur la tête (mais on n’est plus à Dallas, Texas), comme sur la photo célèbre de Lee Harvey Oswald avant qu’il ne soit abattu par Jack Ruby.
(Photos : Paris, 17 mai. Rue des Carmes, 5e. Cliquer pour agrandir.)
Une des images qui ont fait le tour du monde, signée Robert Stolarik et parue le 15 mai dans The New York Times – avant les autres, celles du tribunal de Manhattan – expose un DSK qui a la tête de l’emploi, celle du coupable, mal rasé, mal vêtu, mal dans sa peau.
Il vient d’annoncer sa démission du FMI et a réaffirmé son innocence.
(Capture d’écran du monde.fr de ce matin.)
Même si les charges et les indices semblent s’accumuler contre lui, ses défenseurs se préparent à l’offensive contre ces accusations.
Il est clair que la carrière politique de DSK paraît brisée (mais pourquoi ces métaphores, plus ou moins triomphantes, avec termes de boxe, à la « une » de certains journaux français ?).
(Photo librairie : rue Cujas. Cliquer pour agrandir.)
Le Panthéon parisien est loin, inaccessible, sa coupole ressemble pourtant à une sorte de chapeau. DSK était-il un grand homme, perdu par son attirance vers les femmes, et la patrie lui doit-elle quelque chose ? Celle-ci est reconnaissante ou totalement indifférente.
(Photos : place du Panthéon. Cliquer pour agrandir.)
(Dave Brubeck, Bluette)