Ce matin, pure musique : The Modern Jazz Quartet, avec John Lewis (piano), Milt Jackson (vibraphone), Percy Heath (bass), Kenny Clarke (drums).
Souvenirs de notes comme des gouttes de pluie attendries, caressantes, vénitiennes ici, car Sait-on jamais… et le film de Roger Vadim – avec Françoise Arnoul, « La Chatte » – qui bravera le temps et la critique collet monté.
Nappes du vibraphone, pointillisme du piano, flux de la batterie, reflux de la basse.
Lagune…
Sur la scène, l’enchantement et le silence, paradoxalement.
45 tours et puis s’en vont.
(Le morceau choisi ci-dessous est extrait d’un autre album du MJQ.)
(The Modern Jazz Quartet, Django)
Un avant-goût de vacances ? Un Voyage en Italie peut-être ?
@ Une Parisienne : Seul Rossellini le sait !
Just pure bliss! Thanks!
@ M : It’s my pleasure !
GENIAL le MJQ !!!
@ PdB : As usual…
il est bien bleu le crayon de la Fenice aussi… Venise ah oui Venise… (je pense à Brunetti, le héros des bouquins pas si bien que ça de Dona Leon, et aussi à Burano et son rendez-vous des chasseurs…) j’adore cette musique, merci Dominique
@ PdB : Burano jolie, j’espère maintenant pas trop touristique !
bien plus enchanteur que les infos ! merci pour le choix et la pochette !
@ lautreje : oui, de temps en temps, un peu d’air frais ou lagunaire…
ah oui, ça fait du bien!
Des claviers, je ne peux pas dire que j’apprécie le plus le vibraphone, mais là très beau, léger, fluide, doux.
@ caro.carito : il est bien tempéré…
Joli. Je vais aller taper sur mon xylophone !
Un peu de musique pour apaiser les tensions était nécessaire, merci Dominique Hasselmann.
@ Ceriat : « basse » tension !
À force d’en entendre parler à tout bout de champ, on a envie d’avoir une opinion… Mais quelle fatigue au fond. Et si on oubliait le cas DSK tout simplement par une perte de l’ouïe opportune, hein, si on faisait comme si tout cela n’était pas et on en profitait pour jouir à notre tour… de l’été. Hein, si on faisait ça ?
@ Gicerilla : l’arène est ouverte.
L’eau est basse comme est lointain le temps …
@ Eugenie : nager sous la surface et alors tout revient.
[…] : Sait-on jamais ; avec The Modern Jazz Quartet. Address: http://blogoliviersc.org/?p=4317 « Ascenseur […]
@ olivier sc : merci pour votre constance inaliénable.
[…] signifiait tout bonnement Sylvain. J’écris tout en écoutant le quartet de jazz moderne (MJQ magnifique) que je dois au Chasse […]
[…] à Beaubourg des émissions d’André S. Labarthe (j’écoute toujours le morceau du MJQ du Chasse-Clou en l’occurrence irréductible, intitulé « Django ») (j’ai […]