A la sortie du métro Pyrénées, descendre une partie de la rue de Belleville et puis remonter à gauche par la rue Piat : arrivée au parc.
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Mais la vue est brouillée (au loin, la tour Montparnasse semble trembler sur ses bases) par la pollution qui s’étend sur la capitale. Ce n’est pourtant pas « le » nuage radioactif, et l’étrange Maison de l’air semble mesurer on ne sait trop quoi dans l’atmosphère.
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Des lecteurs et lectrices parsèment les jardins et les gradins. On discute sur un banc au soleil. En redescendant, on prend un café à la Maison des métallos (une plaque rappelle un rassemblement pour l’intervention armée au moment de la guerre d’Espagne), l’expresso dans la cour ne coûte qu’un euro.
La fameuse rue Villin (Georges Perec) ne ressemble presque plus à rien. C’est dans ce quartier que l’on a construit des immeubles modernes, dans une optique de « rénovation », comme ils disent. Une rue qui se nomme Francis Picabia semble égarée dans le coin.
Des films policiers ont été tournés ici. Un élément du décor aurait-il été oublié par mégarde ?
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(Clifford Brown, Swingin.)
L'Irréductible 
L’assassin habite à quel numéro ?
@ JEA : au Villin.
merci pour la balade – pour le nuage la CRIIRAD mesure sa teneur au dessus de ma mairie et disait hier matin : c’est tout bon
@ brigetoun : Il vaut mieux en effet croire en la CRIIRAD qu’en l’IRSN.
on aime aussi la maison des métallos et son café intérieur (un euro aussi le café)… quel joli coin, pas vrai ?
@ PdB : c’est là que se tiennent « les lundis » de Mediapart. La façade est remarquable.
Un grognement encore assoupi (ma tête n’arrive pas à changer d’heure) d’une buveuse de thé: pourquoi la uneeuroterie ne tombe jamais sur le bon numéro quand on commande un Earley?
Très belle description. la musique reflète un air de liberté, qui tranche avec la restructuration du quartier, à moins que ce ne soit le printemps qui effleure le pavé.
@ M : parce qu’il ne fait pas gris.
@ Ceriat : sans doute les deux…
en face de la Maison des métallos se trouve la mosquée, plus loin les restos chinois et près du parc la synagogue, c’est l’esprit de Belleville… n’en déplaise à la Guéanterie ambiante.
@ DomC : oui, on n’ose imaginer le ministre intégriste s’aventurant dans ces lieux de perdition où, sans doute, « les Français ne se sentent plus chez eux » !
& avant les gradins, etc. il y avait là aussi la Villa Ottoz, ou demeuraient cette chère et tant regrettée Christiane Rochefort (et ses chats !), et aussi Pierre Alechinsky…
@ Karl-Groucho Divan : Alechinsky, toujours vivant dans les marges.
Librairie – dépannage TV. Drôle de créneau !
@ Dom A. : à creuser.
Copé renvoyé dans ses buts par tous les représentants des cultes ! chez les bleus le jeu collectif va imposer des exclusions ? On se croirait dans un stade !
A quand le Paris malin de l’Irréductible
@ Sorcière : Copé, la ration est pleine !
@ Zoë Lucider : non, le Petit Fûté est déjà (tré)passé.
ça évoque plein de souvenirs, j’avais une pote qui habitait rue Piat, dans un immeuble improbable et de guingois, un bel appart de taille poche. Des souvenirs à la pelle.
Il m’aurait été difficile d’imaginer un bistro porter le nom d’assassin. Ce n’est plus un rêve… mais pas encore un cauchemar. 😉 Euh… le lien fonctionne-t-il?
@ caro_carito : certes…
@ Pierre Chantelois : je vérifie. Pour moi, oui !
Dominique. Mauvaise manipulation de ma part. Le lien est bel et bien fonctionnel. Merci
@ Pierre Chantelois : pas de souci, d’autres liens résistent également au temps.
Quelque architecte en veine de créativité a sévi là aussi !
@ saravati : c’est vrai qu’il y a un peu du Le Corbusier dans l’air…
[…] : Belleville, certes ; tiens, une école que je recevais dans mon dernier Atelier informatique … Dans mes rêves, […]