Vivement la fin de ces travaux ; des murs blancs, une tour haute, un fleuve : « notre » Monument Historique ressemble désormais à un vaisseau fantôme du XXe s.
@ Une Parisienne : le Centre des monuments nationaux a dû ainsi encaisser quelques euros bienvenus pour combler ses dettes. L’esthétique passe loin derrière cet objectif comptable.
Cette opération sur la conciergerie me rappelle qu’il y a un paquet d’années, au lycée, en sciences nat, les profs s’autorisaient à nous faire décérébrer les grenouilles ..
C’est beau comme du Christo… (il y a un truc qui me fait penser ces temps-ci, comme l’allusion de C. Désormière y fait référrence, je crois, c’est cette Samaritaine et le fait que l’adjoint à la culture de notre si pimpante municipalité -Ah Paris, quelle belle ville, et les Parisiennes alors…!- cet adjoint, donc, émarge, me semble-t-il, dans l’entreprise qui a remporté le droit de construire là un hôtel de luxe : ça n’a rien à voir, je sais bien, mais tout de même, je vois là comme un linéament d’un aboutissement, je me trompe ?)
Je pense à une chanson de Mouloudji
« Comme dirait ma concierge.. »avec » des filles au derrière étonné. »
A ne pas rapporter en cette période d’ordre moral..
La concierge est dans quel escalier ?
@ JEA : il faut demander au portier électronique.
la conciergerie comme une petite maison jouet – acclimatée depuis si longtemps
@ brigetoun : je ne ferai aucune allusion à une autre prison, on dirait encore « ras-le-bol » de ces trois initiales maudites !
Vivement la fin de ces travaux ; des murs blancs, une tour haute, un fleuve : « notre » Monument Historique ressemble désormais à un vaisseau fantôme du XXe s.
@ Une Parisienne : le Centre des monuments nationaux a dû ainsi encaisser quelques euros bienvenus pour combler ses dettes. L’esthétique passe loin derrière cet objectif comptable.
Bouillon de fleuve, la nuit.
@ Gilbert Pinna : le bouillon de culture est bâché…
Encore une petite musique qui se diffuse au fil de l’eau, sous un éclairage économique. 😉
@ Cerait : la musique éclaire les jours et les nuits…
C’est très vrai.
Derrière ces voiles blancs, qui sait, le bâtiment se transforme peut-être en hôtel de luxe et équipe-t-on déjà chaque chambre d’un pass électronique.
Ça fera les pieds aux Japonais.
@ Désormière : … avec conciergerie et nettoyage des chambres plus sophistiqués.
@ Dom A. : Nikon veille.
Cette opération sur la conciergerie me rappelle qu’il y a un paquet d’années, au lycée, en sciences nat, les profs s’autorisaient à nous faire décérébrer les grenouilles ..
@ Eugenie : oui, les « frogs » sont mal vues, en ce moment, de l’autre côté de l’Atlantique.
Oh, c’est beau !
Et en plus, ça rapporte !
@ Jean-Luc : une réussite à la fois esthétique et économique.
C’est beau comme du Christo… (il y a un truc qui me fait penser ces temps-ci, comme l’allusion de C. Désormière y fait référrence, je crois, c’est cette Samaritaine et le fait que l’adjoint à la culture de notre si pimpante municipalité -Ah Paris, quelle belle ville, et les Parisiennes alors…!- cet adjoint, donc, émarge, me semble-t-il, dans l’entreprise qui a remporté le droit de construire là un hôtel de luxe : ça n’a rien à voir, je sais bien, mais tout de même, je vois là comme un linéament d’un aboutissement, je me trompe ?)
@ PdB : celui dont tu parles possède en outre un blog très « policé »…
Quand la concierge …rit , le rap sot dit ? rire
Désolée … 🙂
Très jolie photo …
Et dire que l’époque des pieds bandés est révolue…
@ ArD : oui, l’avenir est aux petites mains délocalisées.
@ Marie : in Blue ?
Je pense à une chanson de Mouloudji
« Comme dirait ma concierge.. »avec » des filles au derrière étonné. »
A ne pas rapporter en cette période d’ordre moral..
@ potaux : je ne peux décemment répondre à votre commentaire.
[…] promenades : Nocturne parisien ; cliquez sur la photo et sur Terry Riley – Roses et autres merveilles – Les Rapides de […]