Quelques photos prises hier dans mon quartier (Paris, Xe).
(Rue Jean Poulmarch, 9 h. 43, cliquer pour agrandir.)
(Rue Jean Poulmarch, 9 h. 46. Cliquer pour agrandir.)
(Rue de Lancry, 9 h. 47. Cliquer pour agrandir.)
(Rue Albert Thomas, 9 h. 54. Cliquer pour agrandir.)
(De plus près. Cliquer pour agrandir.)
(Rue Léon Jouhaux, 17 h. 13. Cliquer pour agrandir.)
(Muddy Waters, Whiskey Blues)
jour ordinaire de Paris
@ brigetoun : Bien vu…
Jour ordinaire mais quand on aime, ça rendrait presque nostalgique. Presque.
@ caro.carito : vous me faites repenser soudain (pourtant je ne suis pas Luc Ferry) à un livre de Jankélévitch : « Le Je-ne-sais quoi et le le presque rien » – sa voix était musicale.
D’après vos photos, un quartier contrasté, où le » monumental » côtoie la misère… une musique propice à la déambulation.
@ gballand : Muddy Waters, Deep south pour un quartier à l’Est…
L’homme de la rue.
@ Gilbert Pinna : j’ai agrandi pour vous la photo de l’entrée de l’église, avec la pancarte où l’on peut lire, difficilement : « Merci de ne rien déposer au pied de cette porte ». Le Whiskey Blues s’adresse à tous les passants !
« Ne déposez rien »
Faites un signe
et
on vous rappellera
@ lautreje : le numéro céleste est un numéro vert.
Si je me souviens bien, nous ne sommes point très loin du Canal avec l’ombre mouvante des arbres comme amers à ces déambulations…
@ Le Tenancier : Saint-John Perse rôde peut-être dans le coin.
En fait, il ne fait pas si beau sur Paris…(les graffs de la première et le lion de la troisième photo sont pour moi des traits d’union)
@ PdB : l’oeil sait cligner.
Des portes comme des murs, des barreaux et des grillles, tout un enfermement, une exclusion.
Heureusement que le muret de pierre n’a pas encore été doté de pointes de fer anti sdf …
@ Sorcière : ce n’est qu’un aperçu à des instants « T ». A des moments « M », tout peut être différent.
C’est bien ces petites niches où on peut poser son barda et dormir un peu à l’abri des pieds des congénères. Ce n’est pas le Paris de Woody, plutôt celui de Bob. Les signes, sans être cabalistiques sont chargés de sens et non sens. Vive la capture de l’Irréductible!
@ Zoë Lucider : A Arles, une rue à son nom.
[…] et ailleurs : Signes de rues – L’Aime haut du matin … – Ça marche pas toujours – Et le jour […]
J’ai essayé le numéro vert, il était très encombré, peut-être en dérangement.
@ Dom A : c’est la définition même de ces numéros…
J’adore tout particulièrement cette série, pleine de diversité et de sens. Bravo et merci.
@ Pastelle : quelques traits de pastels photographiques…
Je ne suis pas sûre que la dernière image puisse entrer dans le cadre du pastel…
Sur le plan pratique et visuel, je crois que votre blog gagnerait en impact et visibilité à afficher les photos en grand d’un coup, car rares sont ceux qui cliquent sur votre proposition de « cliquer pour agrandir ». Il faut compter avec la paresse et le manque de temps. Alors imposer certaines choses plutôt que de les proposer. Enfin, ce n’est que mon avis…
NB : Paresse et manque de temps, je n’ai agrandi que votre dernière photo. Et pourtant je suis persuadée qu’elles le méritent toutes.
@ Pastelle : la plupart des blogs publiant leurs photos en grand (comme je le faisais sur « Le Chasse-clou »), j’ai souhaité me démarquer.
Clique qui veut, après tout.
Vraiment très beau
plein d’humour
et de sens